SNK REBIRTH est un forum basé sur le manga Shingeki No Kyojin. L'intrigue se détache de l'oeuvre originale à partir de l'expédition contre le Titan Féminin. 10 lignes minimum - Rp violent toléré.

En ce moment
Erwin Smith est accusé du meurtre de Naile Dork, fait sinistre effectué lors de l'investiture du roi. Destitué de son grade et de son poste de commandement, le meneur du corps d'expédition se retrouve derrière les barreaux en attendant son jugement. En plus d'être assignés au sein des murs, le bataillon d'exploration se retrouve maintenant sans commandant (tout comme les brigades) et la risée de l'armée. Une enquête interne est en cours et chaque soldat doit passer sous le peigne fin de la justice afin de prouver son innocence.
Missions
Brigades - garderie
Ouvert - distribution
Ouvert - filature
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Rashieka B. Bartels
Rashieka B. Bartels
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Feuille de personnage
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Rashieka B. Bartels
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Lun 29 Mai - 9:10


RASHIEKA B. BARTELS



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Informations
Nom Complet :: Rashieka Bamby Bartels.
Surnom :: Bamby, Rashie.
Age :: 27ans.
Genre :: Féminin.
Profession :: Civil, commerçante.
REBELLION :: Non.
Avatar :: Katarina - League of Legends.


Physique
Rashieka est une femme de petite taille. Du haut de son mètre cinquante-neuf, elle n’en reste tout de même pas moins dénuée de charme et d’assurance. La jeune femme s’assume complètement, et il est presque primordial pour elle de se mettre en valeur : c’est ainsi qu’elle se sent belle et bien dans sa peau. Rashieka possède une morphologie en huit, lui offrant une taille marquée, et des jolies rondeurs au niveau du fessier et de la poitrine. Elancée, fine car sportive et musclée, elle fait partie de ces femmes qui attirent l’œil, gâtées par la nature.
Bien que courte sur pattes, elle possède des jambes pulpeuses et un fessier galbé, témoins de ses nombreuses heures passées sur le dos d’un cheval. Pas un morceau de gras sur son ventre et ses hanches, et malgré que ses abdominaux ne soient pas aussi voyants qu’un soldat, elle peut tout de même se vanter de posséder les deux creux caractéristiques d’un abdomen plat et musclé. Une poitrine assez avantageuse vient souligner sa silhouette et harmoniser son haut du corps. Elle regrette parfois de ne pas avoir de plus petits seins, plus accommodants pour son travail, mais Rashieka est tout de même consciente de cet atout non négligeable chez une femme. Ses épaules ne sont pas très larges, et dans l’alignement de ses hanches. La rouquine est petite certes, mais elle ne ressemble pas à un boudin, car dotée d’un corps fin qui casse sa courte taille. De loin seulement, malheureusement.
Le port de tête haut, ce qu’elle préfère le plus chez elle est sans nul doute sa chevelure, qu’elle arbore détachée le plus souvent. Ses cheveux de feu ondulent gracieusement autour de son visage et mettent en valeur ses prunelles verdoyantes. Son visage est celui d’une poupée, souvent éclairé d’une expression fière que l’on pourrait penser hautaine, et elle aurait surement fait plus jeune que son âge si une balafre ne venait pas briser l’innocence de ses traits. A son œil gauche, la cicatrice court de son front jusqu’à sa pommette, soulignant et accentuant la lueur de défi brillant dans ses yeux verts. Rashieka, à cause de sa petite taille et de son sexe, doit toujours faire ses preuves auprès des hommes qui la dominent. Mais sans aucun doute, elle a l’âme d’une guerrière.


Caractère
Rashieka est petite par la taille, mais grande par le cœur et l’âme. Si l’on devait choisir un mot pour la décrire ? Loyauté.
La jeune femme, une fois que vous avez percé sa carapace et gagné sa confiance, vous restera toujours fidèle quelques soit vos décisions, vos actes ou vos erreurs. Elle vous considérera comme un membre à part entière de sa tribu, un genre de famille dont elle a une vision très idéalisée, et serait capable de vous suivre jusqu’au bout du monde, de renier sa patrie, de décrocher la lune, si vous le lui demandiez. Quelques soit vos raisons, vos motivations, elle respectera toujours la personne que vous êtes, car c’est ainsi qu’elle vous connait et vous apprécie, ainsi qu’elle vous accepte au plus proche d’elle.
Et alors, elle se démontrera d’une douceur presque incroyable, envers vous. Au petit soin, presque, comme si elle n’accepterait jamais que quelque chose puisse briser l’image qu’elle a de vous : un ami heureux auprès d’elle. Rashieka sera aussi généreuse qu’une bonne mère, prête à se laisser crever de faim, à se sacrifier, pour soulager les maux des membres de sa tribu. Une épaule sur qui se reposer et pleurer, sans nul doute. Compréhensive, adorable, au comble de la gentillesse, très empathique avec ses « frères et sœurs », elle sera une oreille attentive si vous désiriez un jour vous confier à elle. Elle n’hésitera pas non plus à partager avec vous ses malheurs et soucis, confiante en votre capacité à la soutenir. Elle considère cette tribu comme son bien le plus précieux.
Cependant prenez garde : ne fautez pas, elle ne vous le pardonnerait pas. Si un jour vous la trahissez, vous, ce grand ami, en qui elle avait toute confiance, en qui elle s’était livrée corps et âme, si un jour cela devait arriver, sachez qu’il vous sera très difficile voire presque impossible de vous faire pardonner et de regagner sa confiance. Rashieka ne possède pas beaucoup d’amis, parmi toutes les connaissances et relations qu’elle a pu tisser avec les autres êtres humains. C’est une denrée rare chez elle, et précieuse, de donner sa confiance. Mieux vaut ne pas la gâcher.
Difficile, oui, Rashieka l’est et l’admet elle-même. Elle sait qu’elle peut être compliquée, cinglante et apparaître méchante, froide et cruelle aux yeux des autres. C’est surement dû à sa faculté à toujours être sincère peu importe l’occasion ou l’objet de conversation. Rashieka ne mentira jamais, mais lorsqu’elle sait que les mots qu’elle prononcera pourraient vous blesser. Elle part du principe que le mensonge est une trahison, et qu’elle ne l’accepterait pas de la part des autres, alors… Pourquoi mentir, si c’est quelque chose qu’elle ne peut pas supporter elle-même ?
Certes, elle aurait pu être sincère mais habile avec les mots pour faire passer la pilule doucement… Mais Rashieka ne passe pas par quatre chemins quand elle veut mettre les choses au clair, et souvent sa franchise sera crue et brute. C’est aussi ainsi qu’elle vit : les métiers du cheval, bourrus, bruts de forme, l’ont formée comme ceci. La vérité, rien que la vérité. Car après tout, c’est ce qu’il y a de plus fiable au monde n’est-ce pas ?
Rashieka a surement remplacé instinctivement sa famille de sang, par celle liée par l’âme et le cœur, l’amitié. Trop de tensions et de conflits l’ont poussé à s’éloigner sans remord du milieu familial, et elle ne tient pas de place particulière aux membres de sa famille. Mise à part ses deux cousins, qu’elle a pris sous son aile en quelque sorte, et qu’elle considère un peu comme ses fils. Elle garde pourtant un très bon souvenir de sa tante Eva, du côté paternel, et se remet petit à petit à lui écrire, retissant un lien chaleureux et complice, qu’elle avait cru perdu à jamais.
Par son métier, elle connait beaucoup de monde au sein des murs, aussi bien de la populace la plus basique (paysans, artisans…) jusqu’aux hautes sphères de l’élite sociale. Elle entretient un lien tout particulier avec les différentes armées, les considérant comme une part primordiale de ses revenus. Elle s’est d’ailleurs passionnée et spécialisée dans l’élevage et le dressage des destriers de ces soldats. Cependant, son petit plaisir reste et restera l’art du spectacle équestre, qu’elle a su mélanger à celui plus méthodique et terre-à-terre du dressage militaire.
C’est auprès des chevaux qu’elle se sent le plus vivante, et pour rien au monde elle ne renoncerait aux choix qu’elle a du faire pour en arriver là.


Histoire
Rashieka est née en arrachant la vie à sa mère. Première fille et unique d’un couple unissant deux familles de noble vivant au sein du mur Sina, son père lui voua une haine profonde et ancré en lui, dès les premières secondes de sa vie. Rashieka lui en a toujours voulu, et elle lui en veut encore, de ne lui avoir jamais donné l’amour qu’un père devrait donner à sa fille. Cette figure paternelle qui aurait pu lui manquer durant son enfance, la rouquine l’a remplacé par la présence de son oncle : Henry Kleiss, le frère de sa mère défunte. C’est d’ailleurs lui qui lui a donné son deuxième prénom en l’honneur de sa mère, Bamby étant le surnom qu’il lui donnait depuis leur enfance.
Son père fut relativement absent de sa vie. Elle a très peu de souvenirs de lui, et les seuls qu’elle possède, elle les rejette du mieux qu’elle peut. Elle se souvient d’un homme toujours en colère, dont le regard, surtout celui qu’il lui portait, était toujours empreint de dégout. Elle ne le voyait que très rarement, quelques minute tout au plus, et durant les réunions de famille (où elle s’attacha fortement à sa tante Eva Bartels, sœur de son père). Rashieka fut confiée à son oncle Henry, rejetée par sa famille paternelle. Petite, elle ne se rendait pas vraiment compte de ce que cela représentait, mais en grandissant, cela l’affecta bien plus que ce qu’elle aurait voulu.
Elle vécut sa petite enfance dans les grandes écuries de son oncle, entourée des écuyers, moniteurs, chevaux et poneys. Elle apprit d’ailleurs à monter à cheval avant de savoir marcher, et se découvrit un don certain dans le milieu équestre, une passion qui enflamme encore aujourd’hui son petit cœur. C’est vers l’âge de six ans qu’on commença à lui inculquer la véritable vie de jeune fille, dont l’avenir était déjà tout tracé. L’épouse de son oncle la reprenait sans cesse et lui apprenait les bonnes manières, à se tenir droite et à se taire. Se taire oui, car Rashieka était née femme, et une bonne femme se taisait, simplement. Elle souriait. Acquiesçait. C’est tout ce qu’on lui demandait de faire. Cependant, éprise par l’équitation, la demoiselle trouvait toujours du réconfort auprès de son oncle, qui lui rendit son enfance plus douce et rayonnante, malgré les contestations de Mme Kleiss. Entre leçons de bienséance, nettoyage des boxes plein de crottins, robes de dentelle et de soie, éperons et cuir, nul doute que naissait en elle un sentiment partagé, révolté. On lui répétait sans cesse ce que devait faire une jeune fille, et ne pas faire. On lui répétait sans cesse, ce que devenait les jeunes filles, et comment devenir une bonne épouse. Et on avait beau lui répéter, pour Rashieka, ce monde était bien lointain.
Le jour de ses dix ans, on lui annonça qu’elle se marierait avec un certain Thomas Further, dont elle ne connaissait rien, et qu’elle n’avait jamais rencontré. Mais encore une fois, elle ne comprit pas réellement l’étendue de ce que l’on attendait d’elle, et elle passa outre, débutant son adolescence à se débattre avec un jeune étalon sous la surveillance de son oncle Henry. Peut-être voulait-elle oublier ? Elle prenait peu à peu conscience que quelque chose clochait. On lui reprochait sans cesse de passer trop de temps dans les écuries et d’être trop proches et amicales avec les lads, palefreniers et autres écuyers. Il lui arrivait même parfois d’accompagner son oncle lors de ses ventes un peu partout au sein des murs. Elle aimait réellement ce genre d’escapades. Mais ce qu’elle appréciait le plus, c’était les bases militaires, où son oncle vendait ses pur-sangs les plus calmes et obéissants, mais aussi les plus solides. Elle avait hâte de dresser elle aussi son jeune entier, Archibald, et de le présenter à ses lieutenants, caporales, et commandants. Elle s’imaginait un avenir florissant et plein de rêves.
Quatre ans plus tard, alors que pour elle tout semblait parfait, parfaitement parfait, son petit cocon se fractura. Ce fut son père qui vint la chercher et la ramena dans la demeure familiale, loin du crottin, paille, de l’odeur de cuir et des hennissements de chevaux et des raclements de pavés par les sabots, et de son oncle, et de ses cousins qu’elle avait vu naître et dont elle aimait tellement s’occuper. Son père qui l’arracha à ce paradis, pour l’emmener avec lui loin de ce qui la rendait heureuse. Loin de ce qui la complétait. Mais que pouvait-elle bien dire ? Oh, bien sûr qu’elle tenta de se révolter, mais elle ne reçut que trois gifles de sa part et l’horrible sensation d’avoir fait la plus grosse erreur de sa vie. Honteuse, elle se tut, et devint une jeune femme modèle : une femme qui ne parle pas. Une femme qui sourit. Une femme qui dit bonjour, merci, au revoir. Une femme qui s’enchante d’être courtisée par des hommes matures, car elle portait l’avenir de la famille sur ses frêles épaules. Après tout, ne devait-elle pas unir sa famille à une autre, pour grimper l’échelle sociale ?
Deux ans plus tard, agée de seize ans, Rashieka devait se marier. Tous les préparatifs la rendaient folle de rage et de tristesse, mais elle se taisait encore. Elle se regardait dans le miroir en robe blanche, les cheveux tirés en un chignon qui lui meurtrissait le cuir chevelu, et pleurait intérieurement la jeune enfant pleine de crasse et de paille, qui passait son temps dans la sellerie à renifler les selles et les filets, qui dormait dans un box, et qui fuyait dès que possible les ennuyantes leçons de Mme Kleiss. Elle se haïssait alors. Mais se taisait encore.
A trois semaines du jour tant redouté, Thomas Further mourut d’une maladie foudroyante. Elle remercia le ciel, et fut plus heureuse que jamais, seule souriante parmi les ombres familiales qui lui crachaient au visage que son attitude était impardonnable. Mais, elle s’en fichait royalement. Un doux sentiment de soulagement lui mettait du baume au cœur et elle prenait la vie avec un peu plus de simplicité, appréciant chaque geste qu’elle pouvait réaliser en étant une femme libre. Du moins, une femme qui n’avait pas de mari. Car elle le savait à présent, elle n’était pas plus libre qu’une autre. Elle faisait ce qu’on lui disait de faire, rien de plus rien de moins. Elle se sentait fragile, et ce sentiment l’oppressait. Où était passé la cavalière d’exception qui se faisait respecter de tous, car capable de soumettre un animal de dix fois son poids ? Elle regrettait l’époque où elle vivait près de son oncle. Cela devait cesser.
Rashieka devint acerbe, méchante, mesquine, voire violente envers sa famille paternelle, ces gens qu’elle avait longuement haï sans avoir le courage de leur dire. A présent, à l’aube de sa dix-septième année, elle ne mentirait plus. C’était aussi une façon de décourager chaque homme osant se frotter à elle. Ils la désiraient, seule héritière de la richesse des Bartels, noble famille vivant au sein de Sina. Son père n’avait pas trouvé nouvelle épouse, surement encore trop affecté par la perte de Bamby. D’ailleurs, il désespérait et nombreuses étaient les disputes entre elle et lui. Non, plus jamais elle ne se tairait, plus jamais elle ne regarderait les autres lui dicter sa conduite et décider de sa vie, sans rien dire. A force, elle obtint de lui le droit de remonter à cheval à sa guise, en échange de quoi elle acceptait les repas familiaux et réunions, aussi ennuyeuses que pleines de mensonges. Elle haïssait tous ces gens. Même sa tante Eva commençait à lui reprocher des choses. S’en était assez.
Alors qu’elle avait décidé durant sa vingtième année de vie de s’évader et de partir d’elle-même, qu’elle était fin prête à faire face à son père pour gagner sa liberté, elle n’eut jamais le courage de l’affronter. Elle le craignait, depuis ce fameux jour où il avait levé la main sur elle. Elle le craignait car elle le savait enclin à la violence. Rashieka se tut. Une nouvelle fois.
Deux ans passèrent, et un évènement terrible secoua l’humanité : l’apparition du titan colossal. Rashieka apprit quelques semaines plus tard le décès de son oncle, dont on n’avait pas retrouvé les restes. Chamboulée, anéantie, cela lui fit comme un électrochoc. C’était maintenant ou jamais. Elle affronta son père, gagna sa liberté et garde la trace de ce long combat sur son visage. Saignée et marquée jusqu’à la fin de ses jours par son géniteur, elle arbore maintenant fièrement cette balafre, témoin du prix à payer pour son indépendance.
Rashieka reprit les rênes de l’élevage et de l’industrie équestre de son défunt oncle. Elle prit sous son aile ses deux cousins, laissés à l’abandon par une mère devenue folle à cause de la perte de son mari. Cela fait cinq ans qu’elle élève et dresse les jeunes chevaux qu’elle présentera à sa première vente. Rashieka doit encore faire ses preuves, face au milieu hostile aux femmes qu’est le milieu équestre. Mais elle se sent plus forte que jamais, et à toute confiance en ses capacités. Plus jamais elle ne se laissera marcher sur les pieds et dicter le fil de sa vie. C’est le cœur plein d’entrain et d’assurance, qu’elle présentera aux plus grands le fruit de son travail, et elle espère bien être digne de l’héritage laissé par son oncle.
A sa grande surprise, son père ne l’a pas déshérité. Elle ne comprend pas pourquoi, mais doute que cela a un rapport avec sa mère. Ses dernières volontés peut-être ? Ou peut-être bien que son image est gravée dans ses traits, à un tel point que M. Bartels ne se résout pas à la renier complètement ? Parfois, Rashieka doute. Mais elle garde la tête haute et le regard porté sur l’horizon : son avenir, la vie qu’elle s’est choisie. Lady Bartels, la dame aux mains de fer dans un gant de velours.


Derrière l'écran
Pseudo :: Lyo.
Age :: 21.
Code du règlement :: Patate.
Comment avez-vous connu SNKR :: Abracadabra, le saint fromage m'a guidé jusqu'ici.

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